Paulhan, encore :
"Car l'expérience la plus simple nous apprend que là où est le pouvoir, les mots passent invisibles ; et là où apparaissent les mots, il n'y a plus de pouvoir."
Jean Paulhan, Les Fleurs de Tarbes (1941), Oeuvres Complètes, Gallimard, III, 6. "Au défaut de la Terreur", p. 162.